« L’Homme de terre, l’homme debout. »
L’arbre seul, dans la nature, pour une raison typifique, est verticale avec l’homme. L’arbre s’exhausse par un effort, atténués jusqu’au tissu fragile et sensible des feuilles, par où il va chercher dans l’air même et la lumières sont point d’appui, constitue non seulement sont geste, mais son acte essentiel et la condition de sa stature.
La position de l’homme debout est celle de l’équilibre, de la stabilité. Elle atteint spontanément une eurythmie naturelle, une unité. Claudel exprime pour l’homme (l’arbre) de s’élevé à la recherche de l’air, de la lumière, mais sans doute aussi celle d’échapper à sa condition terrestre, Celle d’homme de boue.